B elle de jour, belle de nuit, belle toujours mon amour, drapée de ses atours, tu fais frémir et je fais des jaloux. Ce que tu oublies souvent, beauté, c’est que t’es cute en osti… Quand j’te dis dans tes petites oreilles toutes cutes à quel point j’tripe su toé… Ouf… Saint-liboire j’ai chaud en tabarouette, à force de te fixer d’même, tu vas m’rendre aveugle. Savais-tu que y’a comme une oréole autour de toi, pis que quand j’te regarde j’me sens, j’m’en sens comme… Ah pis j’me peux pu criss, c’est simple, j’t’aime tabarnak.
Comprends-tu ça, j’t’aime?
C’pas vrai que j’orgarde les autres, y’a juste toi. Si j’orgarde, j’le vois ben sti que c’est toi la plus belle. C’est simple, j’t’en amour, pis ça se contrôle pas, c’est un sentiment irrationnel. Ça m’arrive souvent quand t’es pas là de penser à toi fort en osti, pis d’avoir le goût que tu sois là, pour m’épauler quand c’tun moment difficile. J’ai vraiment envie tsé, de… de te prendre dans mes bras. Des fois, j’ai vraiment besoin d’affection, juste d’un petit moment d’affection simple. Sans se casser à tête, osti, criss l’amour c’est unilatéral, ça décoiffe comme sentiment, comme un dérapage contrôlé genre.
Des fois, bébé, j’ai envie de te regarder, juste de même, pendant des heures. Savais-tu que la nuit, j’me réveille pis que je pense à toi. J’pense à toi, d’même, collé su moi, ben simple : genre toé + moé égal amour, that’s it.
Tsé tu t’réveilles à l’aurore, juste avant j’peux regarder vraiment vraiment longtemps. Pis là tu t’réveille comme une fleur qui éclot.
Hey ! Bébé ! T’es cute en tabarnak ! Fais pas comme si tu l’savais pas.
Criss de sacrament, des fois là, j’capote juss à penser à toi. Osti c’est simple, à job j’pète les plombs, Bernard est
écoeuré. Y’é sûrement jaloux, y en pas d’ostie d’belle blonde fine qui y’est là juste pour toé pis que tu peux regarder pendant des heures avant l’aurore, avant que tu te maquilles, l’affaire c’est que j’taime au naturel, pis ça c’est pas tous les gars qui sont de même, pis c’est pasque je t’aime. Pis j’taime fort.
Tsé, le genre de sentiment qui se contrôle pas, qui est irrationnel, le genre de chose que tu peux juste pas contrôler. L’affaire c’est que j’te trouve belle en sacrament. Trop belle osti, même des places du corps que les autres gars remarquent même pas su leur blonde, moé j’ai trouve belles en tabarnak, j’ai remarque osti j’arrête pas d’y penser. C’est simple me semble, j’t’aime criss, pis quand on aime, on aime tout le kit au complet : l’amour s’tun package deal.
Moé chuis un gars honnête, c’est clair qu’y a des morceaux que j’aime pas mal plus : tes belles fesses tellement tellement tellement câlissement belles, osti j’ai l’goût des mordre plus qu’un steak quand jt’affamé ! CÂLISSE !
Osti que j’aime ça la sexualité ! Stu d’ma faute ? Chus pas fait en bois… Ciboire, c’est simple, j’pense à tes chevilles pis j’bande. Mettons que ton corps c’est comme le wonderland du sexe. Ben criss, c’est moi Alysse osti.
Ben c’est normal d’aimer ça, tu l’sais, c’est naturel, faut en faire des bébés. Pis c’que j’veux, c’est de la pratique, ça vient pas tout seul ces affaires là. J’te l’ai dit, c’est irrationnel. Un moment donné, j’tais dans le métro tsé, j’tais à côté d’une fille avec les mêmes ostis de beaux cheveux que toé, pis à sentait la même affaire que toé. C’est juste que elle on voyait dépasser ses culottes osti. Qu’est-ce tu fais dans ce temps-là ? C’est tof en crisse de résister… Une chance chuis amoureux de toé pis que tu me donnes ce que j’veux. Tsé à l’école, y nous apprennent à se contrôler, à pas écouter c’qui appellent lé pulsions. Osti vec toé, j’ai désappris. L’amour rend fou. Pis moé j’t’aime, pis j’t’en train de péter les plombs solide.
Toute, toute, toute ton corps, est fait pour moé, osti c’est mieux qu’une image, c’est du vrai. Du VRAI !
T’es cute en tabarnak, t’as trop tendance à l’oublier, mais souviens-toi en pas trop CRISS ! OSTI t’es tu une salope ?!
J’ai toujours rêvé d’être avec une fille que t’aimes de toutes les prises de vue, qui paraissent ben de partout. Qu’à limite, les vêtements c’est pas vraiment nécessaire. L’affaire, c’est qu’y en un osti de paquet que tu veux pas voir complètement à poil. Toé sti, j’te verrais tous les jours les boules a l’air. C’est simple, ça me met en tabarnak quand tu t’habilles. Cacher toutes ces beaux attributs, c’est pire qu’un crime câlisse. Je veux les voir, me fourrer la face dedans pis sortir la langue comme quand je mange une crisse de bonne grosse crème à glace. T’es chaude comme le sexe mouillée d’une chatte la nuitte. T’es chaude comme ta chatte mouillée la nuitte. Des fois je te tèterais.
À quoi ça sert osti ?! Un osti de paquet de fesses sacrament. C’est fucké en osti d’avoir envie de fourrer d’même. Comment ça se fait que ça me titille autant, c’est juste un paquet de graisse ! Mais moé ça me pogne, la sève qui monte dans mes shorts pis qui crie vas-y ! Défonce-là ! Mais pas n’importe quelle. Tsé, ce serait facile de pogner une câlisse de pute su’l bord du chemin. Mais c’est pas pareil. Pcq toi c’est du vrai. Toi ton corps yé à moi. La sueur dans ton dos, ma desh dans ta face pis ton sang les nuits que tu m’excites trop. Ça m’appartient parce je t’aime. Mon amour me donne le droit de t’aimer pis de faire tout ce qui va avec. Ça rentre par toutes les trous sacrament que t’es belle. À quatre pattes dans broussaille, je te pogne par la crinière pis je te ride comme un cow-boy. Tes fesses qui claquent, des beaux jambons qui gueulent MANGE MOI !
Osti que c’est ben fait. Crisse j’t’amoureux. 1+1 = 2 sti.
C’est quand même bizarre en osti que te tu me mettes le feu aux couilles de même. T’es pas si différente dans le fond. T’es jusse… T’es jusse, j’sé pas tsé… Un corps, criss… Me semble c’est fucké en sacrament de capoter de même pour une paire de fesses sacrament… C’est juste de la graisse osti. J’bande pas s’a livre de beurre tabarnak… J’la fourres-tu, l’ostie de toast à margarine ? Non sacrament. Peut-être pasque c’est pas aussi chaud, je l’sais pas.
L’affaire, c’est qu’à limite, tsé si je regarde mettons, rien qu’une photo de tes boules, même dans un film genre, sti j’capote pareil, c’est même pas l’ensemble, tout le kit a pas besoin d’être là, c’est pas obligé. C’est fucking irrationnel pareil ! Quand j’te regarde le cul, à limite j’m’en calisse qu’y aille un dos en haut tsé, mes yeux s’envont direct là, tout suite, tout seuls, sacrament. Tabarnak de crist que j’écoeuré d’avoir à composer avec le reste. Faudrait que ca arrive tu seul sacrament. Christ ton osti de sua table sacrament jva le mettre pis l’ranger dans l’tiroir après. Sti d’calisse sta moé. Va donc chier sacrament j’va te couper en morceaux. Une ostie de crist de séance de tabarnak pis la job est faite osti de christ j’ai déjà le sarrau sacrament ca se coupe ses os-là pis j’va maculer a maison.
L’autre jour, j’me regardais à queue dans le miroir. Je suis appercu que c’tait pas mal la même affaire. C’t’une ostie de saucisse tabarnak. Rien d’autre qu’une ostie de calisse de tite saucisse à marde. De la calisse de chair dégueulasse. C’est sale en osti un corps. Même j’ai vu un cerveau humain à tv l’autre jour. Un cerveau humain. Osti de wach ! C’est rien que de la viande sale. Christ de callis de christ de caliss que j’écoeuré tabarnak, c’est calissement dégeulasse ca m’écoeure christ. Arrête donc de m’exciter tabarnak!»
Des fois, grand bébé a une vision bouchère de l’histoire. Il oublie qu’il est un corps sans organe. Il oublie qu’il peut penser que c’est pas juste la viande qui pense.
1 commentaire:
ayoye.......ouin!!!!
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