5 sept. 2007

Du De Du Du

Bon bon bon, comprendre, maintenant ?

Prendre avec soi ? Prendre en soi ?

Considérer l'in-su comme su d'un savoir patentable ou patenté ?

Belle patente !

Patente que j'y pense, 50 % d'un bac, ça tient pas grand chose, mais c'est déja un bon rabais applicable a toute l'élite élitable élue.

Devrons-nous avançer au néon dans l'éther du risible ?

Pour ce faire, je propose une réflexion critiquetiquetique sur le de du du. Ce de précédant le le dans le du. De. Le départ précédant les deux points. Une titre, une ouverture dans l'irréférenciable : du de dans le de du du fondant le le. Parce qu'un le infondé, qui ne connaît pas la mer, la limite qui respire, tombe irrémédiablement dans l'emprunt de l'ancêtre. De l'ancêtre du le qui désigne le ça.

Comprendre rien c'est déja comprendre du de, du d', du d. Placer la pointe de sa langue a la rencontre de l'alvéole dentaire et de la gencive, c'est toucher la limite, le ( d ) phonétiquement constricteur et rétentionnaire. De l'importance du portable porté par le porteur ( l'utilisation du masculin dans cette affirmation ne sert qu'a faire chier).

Con-prendre. Con. Prendre. Prend-re. Re : encore et toujours, c'est a ça que ça sert des fondations ?!?


Aucun commentaire: