P armi les méandres perceptifs, les éclairs.
Ce sont des failles dans le vécu d’un individu d’ici ; y pénètre quelque chose, je ne sais quoi.
Les genoux par terre, quelque chose vient d’abdiquer (on ne sait pas pour combien de temps).
Un moment, donc, où l’expérience devient Expérience (Majuscule), où elle cesse de faire ses chichis de jeune enfant en divisant tout en deux.
Jour et nuit, dichotomies sur dichotomies.
L’uniformité et le petit classage (ménage, cladistique, ordres d’idées) glissent sur l’instant comme un sirop très concentré ; c’est pourtant agréable, malgré l’aspect « bitume » de cette métaphore.
Union avec l’inconnu, mais union tout de même. Ça change de l’étrangeté quotidienne à presque tout (entre autres choses : guichets, cours notés, téléologie, (post) modernisme).
Cocu de la réalité téléguidée entre peut-être ainsi dans la réalité réelle.
Dure à décrire, celle-là. La décrire : lui installer un petit émetteur radio pour savoir ce qu’elle fait, où elle va.
Autant de réalités réelles que d’êtres? Peut-être. Qu’importe, si elles sont lieux de rencontre.
Une chose est sûre, il vaudrait mieux ranger tous nos costumes dans un placard en vitre.
Leur teinture coule un peu trop vite pour le rythme de l’univers.
Et puis, voilà, il y a ça : Les éclairs de bord-de-l’eau, de refus-de-cours-mécanisés et de beau-travail-d’artisan (unité pensée et pratique).
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